أرشيف الأوسمة: Ibn ‘Arabi

La sagesse sublime cachée dans l’histoire du prophète Moïse selon Ibn Arabi, 1ère partie

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Selon sa signification spirituelle, le meurtre des enfants mâles ( des Israélites, meurtre ordonné par Pharaon ) dans le but de détruire le prophète ( dont la naissance lui avait été prédite) eut lieu pour que la vie de chaque enfant tué dans cette intention affluât à Moise, car ce fut en supposant qu’il était Moïse que chacun de ces enfants fut tué; or, il n’y a pas d’igorance dans l’ordre cosmique , de sorte que la vie c’est à dire l’esprit vital de chacune de ces victimes dut nécessairement revenir à Moïse. C’était de la vie pure , primordiale, n’ayant pas été souillée par des désirs égoïstes. Moïse était donc de part sa constitution psychique la somme des vies de ceux qui avaient été tués dans l’intention de le détruire. Dés lors, tout ce qui était préfiguré dans la prédisposition psychique de chaque enfant tué se retrouvait en Moïse, ce qui représente une faveur divine exceptionnelle que personne avant lui n’avait reçues.

Moïse est donc né comme une synthèse de beaucoup d’esprit vitaux, qui étaient au tant de forces actives. 

Pour ce qui est de la sagesse impliquée dans le fait que Moïse a été mis dans une arche et abandonné au Nil, Ibn Arabi explique que l’arche correspond à son réceptacle humain ( Anasut) et le Nil à la connaisance qu’il dut assimiler par l’entremise de ce corps; c’est à dire par le moyen de la pensée et des facultés de sensation et d’imagination, facultés qui ne sauraint transmettre quelque chose à l’âme humaine sans

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" Know yourself "the origin, the meaning and the purpose, explained by René Guénon 3/3

vota platon

Without this understanding , no teaching can lead to an efficient result , and teaching that does not awaken in those who received it a personal resonance can not provide any kind of knowledge. This is why Plato said that ” everything that man learns is already in him.” All experiences , all the external things around are indeed an opportunity to help him realize what is in himself . this awakening is what Plato calls anamnesis , which means ” remembrance “.

If this is true for all knowledge, this is even more for a higher and deep knowledge, and when the man advance to this knowledge, all exterior and sensitive resources become increasingly inadequate, until ‘ they finally lose all utility . If they can help to get close to the wisdom to some degree , they are powerless to actually acquire it and it is commonly said in India that the real guru or master is in man himself and not in the outside world , although an exterior help may be useful in the beginning to prepare man to find in himself and by himself what he can not find elsewhere, and particularly what is above the level of rational knowledge . In order to achieve this knowledge ,it s necessary to realize some states which get more deep towards the center , which is symbolized by the heart , where the consciousness of man must be transferred to make him able to reach the real knowledge.

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La chevaleresque : El futuwwa

abd alKader El -Futuwa ( La chevaleresque ) qui consiste à effacer son ego pour le remplacer par le service permanent à l’autre ,et c’est cette attitude qu’adoptent les maîtres spirituels .Ibn ‘Arabî , explique la Futuwwa en disant : ” En vérité ,la futuwwa consiste à élargir aux autres les bienfaits et les dons qui nous sont octroyés et à occulter ceux que nous dispensons conformément à ce que Dieu a dit dans le Coran : ” Ne rendez pas vains vos dons en les interrompant ou en causant du tort ” Coran II ,264le Coran considère que l’une des qualités majeures des pieux à qui est réservée la félicité dans la vie ultime, c’est la maîtrise de la colère et le pardon accordé par eux à ceux qui les offensent. Allah dit : “Qui dépensent dans l’aisance et dans l’adversité, qui dominent leur rage et pardonnent à autrui – car Allah aime les bienfaisants – “L’Emir Abd El-Kader, C’est l’homme du sabre lorsqu’il s’agit de défendre l’honneur de son pays mais aussi c’est l’homme de coeur lorsqu’il s’agit de défendre les victimes de l’injustice et de l’oppression,Son humanisme a été attesté par de grands auteurs et dans toutes les langues.On ne peut comprendre la personnalité de l’Emir Abd El-Kader ce grand homme qu’en se référant à l’enseignement et à l’éducation spirituelle qui le rattache à la voie initiatique de l’ésotérisme islamique, et son maître Ibn Arabi le soufisme.

Derrière le combattant du « djihâd mineur » contre l’ennemi du dehors qui dévastait alors son pays, se dévoile l’homme mystique dont la vie intime ne fut qu’un long combat contre l’infidélité que tout homme porte en lui : c’est le sens de la grande guerre sainte « al jihâd al-akbar ». Ses écrits, son expérience, sont des témoignages vivant de la fidélité et de la continuité de cette voie soufie Mohammadienne. La voie du milieu où le temporel et le spirituel se fondent l’un dans l’autre et d’où émerge l’Homme, le serviteur parfait « al insân al kâmil ».Cela nous invite à méditer les paroles de l’Émir illustrant le pur amour. Le qualificatif de serviteur aimant auquel Dieu s’adresse est, pour les soufis, la désignation de l’état primordial, la nature parfaite et originelle de tous les prophètes et de tous les saints et les amis de Dieu (awilya’Allah). Illustrant au plus haut degré la relation subtile

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L’ arbre symbole de l’homme universel par Ibn Arabi

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Dans “Le Livre de l’Arbre et des Quatre Oiseaux” Ibn Arabi ,  décrit l’Arbre en tant que symbole de l’Homme Universel, de l’être dans sa totalité et développe quatre principes à la base de sa manifestation. L’Arbre et les principes de sa manifestation concernent aussi bien la Manifestation universelle que sa modalité individuelle .L’Arbre symbolique de l’Islam apparaît notamment dans la vision d’un Maître soufi du XIIIe siècle de notre ère, Muhyiddin ibn Arabi aussi appelé Cheikh al-Akbar (le Plus Grand des Cheikhs). Il en donne une description dans deux traités concis qui laissent bien souvent les lecteurs du XXIe siècle quelque peu perplexes. En effet, le récit d’Ibn Arabi ne fait que traduire son expérience intérieure: “Je ne parle que de ce que je goûte” (Futûhât).Ibn Arabi a mené sa quête sur les terres de son Andalousie natale et dans l’ensemble du monde arabe. استمر في القراءة

Ibn ‘Arabi’s vision of Woman

sufi womanWoman as Human Being

Ibn ‘Arabî views human reality as one in all human beings, males and females. The two genders are equal in respect of humanity, and that is their origin. Maleness and femaleness are contingent states in the human essence. He says: “Humanity unites male and female, and in it maleness and femaleness are contingencies, not a human reality. He also says: “Eve was created from Adam, and so she has two determinations (hukm), that of male by virtue of origin and that of female by virtue of contingency. Based upon this gender equality as human being, woman is qualified to work in all the same occupations as a man does, and possesses the aptitude for the performance of all intellectual and spiritual activities.

    Woman’s aptitude for knowledge

Sufi circles are, for the most part, open to both genders, looking upon woman as a human being and not as a female, as a person with exactly the same aptitude for divine closeness and gnosis as a man.

Ibn ‘Arabî further developed the vision of the sufis who preceded him, with regard to women being people of knowledge and gnosis. Woman manifested in his works in two aspects: the sufi and the Fikh fields.

Woman as spiritual teacher, guiding the shaykh, and spritual mother

This characterisation was personified by a woman of gnosis from Seville,

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